« Tout est en suspens ! »
AGRITOURISME / Les agriculteurs vivant du tourisme pourraient reprendre leur activité mi juillet. Après plusieurs semaines de fermeture, il leur est difficile d'envisager que l'année ne soit pas perdue mais aucun d'entre eux ne perd espoir.
Fermes auberges, fermes équestres, gîtes, chambres d'hôtes, camping, œnotourisme... Nombreuses sont les entreprises d'accueil et d'hébergement en agritourisme qui font l'objet d'une fermeture administrative depuis mi mars ou le 14 avril par arrêté préfectoral en Ardèche, exceptées celles qui vendent des produits fermiers. L'activité des entreprises autorisées à fonctionner s'est aussi brutalement dégradée dès le début du confinement et des restrictions de circulation. Fonctionnant principalement entre début avril et fin octobre, la trésorerie de ces entreprises agritouristiques était au plus bas pour faire face à une absence de revenus et d'activité. Début mars, les plans de communication mis en place pour préparer et lancer la saison touristique étaient déjà bouclés. Les travaux d'amélioration habituellement effectués sur la période hivernale étaient finalisés. Succession d'annulations
La suite est réservée à nos abonnés.
